Mobilisation historique à Lorient pour cette deuxième manifestation contre la réforme Borne/ Macron.
Les tubas et soubassophones en action
Le pont d’Oradour plein à craquer, il faut bien un tel pavillon pour faire groover tout le monde !
Les Fanfares Invisibles en Bretagne
Attentat Sonore
Mobilisation historique à Lorient pour cette deuxième manifestation contre la réforme Borne/ Macron.
Les tubas et soubassophones en action
Le pont d’Oradour plein à craquer, il faut bien un tel pavillon pour faire groover tout le monde !
Macron nous appelle dans la rue, alors malgré la pluie, hop la fanfare invisible est là, et pas toute seule car c’est génial, une classe option musique de Vannes joue avec nous, pour le plus grand plaisir des jeunes musiciens et des moins jeunes invisibles.
A Capella, les chanteuses et chanteurs de et autour de la fanfare invisible, sur “A las barricadas” dans une version en français.
La Fanfare Invisible traverse le passage et s’installe pour jouer et pour pik-niker dans la zone du Domaine Public Maritime que s’est appropriée Giboire.
A vous A nous A tous, A nous l’île Berder
vidéo “Solidaires 56”
vidéo “Le Télégramme”, retrouvez la fanfare à 1:42
2 ans après notre première participation, nous voilà de retour à Hennebont, en grand format, chanteuses, musiciens, chanteurs, musiciennes.
Masqué·e·s (quand on ne souffle ni ne chante), confiné·e·s, mais motivé·e·s et pas bailloné·e·s.
La réforme de l’assurance chômage s’attaque à tous les précaires, les intermittents du spectacle, les intermittents de l’événementiel, les salariés qui enchaînent les contrats courts.
Le théâtre de Lorient, occupé depuis le 15 mars par les acteurs de la culture vivante devient naturellement le lieu de convergence des lutes, convergence des manifestants qui refusent de voir passer les lois scélérates pendant cette période de pandémie, de (certains) syndicats, des travailleurs précaires, des musiciens, des acteurs, des techniciens …. et naturellement de la fanfare invisible.
A Saint Gérand, la fanfare invisible a marché avec les 500 participants venus s’opposer à l’agriculture industrielle, aux fermes usines, et à la maltraitance animale.
“La musique c’est comme la bière, ça fait perdre la mesure de soi et le bon sens !“
Voilà ce que nous déclame le sous-préfet de Lorient à l’annonce de cette manif à Auray. Nous voici donc entrés dans l’ère des interdictions des rassemblements à caractères festifs.
Et … ça commence mal !
Les chanteuses qui ont chanté en statique à la manif du matin pour le climat ont été dispersées par la police pour cause d attroupement…
Renseignement pris, il s’avère qu’il est officiellement possible de jouer de la musique si c’est en marchant. La vitesse minimale n’est pas précisée, mais n’importe quel chant de lutte étant au minimum à 120 bpm … Adelante.
Par crainte d’une saisie des instruments, accusés d’être des armes de contagion massive, plusieurs musicien·ne·s sont venu·e·s muni·e·s de leur seule voix. La fanfare invisible, qui a risqué un moment de devenir une fanfare silencieuse mute en troupe chantante qui “veut continuer à danser”.
Peu de cuivres à résonner cette fois, mais quel remontant d’entendre la manif chanter HK …
Non non non non non non Nous on veut ……