La réforme de l’assurance chômage s’attaque à tous les précaires, les intermittents du spectacle, les intermittents de l’événementiel, les salariés qui enchaînent les contrats courts.
Le théâtre de Lorient, occupé depuis le 15 mars par les acteurs de la culture vivante devient naturellement le lieu de convergence des lutes, convergence des manifestants qui refusent de voir passer les lois scélérates pendant cette période de pandémie, de (certains) syndicats, des travailleurs précaires, des musiciens, des acteurs, des techniciens …. et naturellement de la fanfare invisible.